photo La belle au bois dormant

La belle au bois dormant

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle, Musique

Bagnères-de-Bigorre 65200

Le 18/04/2026

Cie François Mauduit Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski Chorégraphie et mise en scène : François Mauduit La compagnie François Mauduit présente «La belle au bois dormant», ce merveilleux ballet mythique et féérique, dans la lignée des grandes œuvres du répertoire classique. Un véritable conte de fées qui allie la grande technique de la danse et la splendeur de la partition de Tchaïkovski. Pas de deux, corps de ballet, mise en scène, théâtralité, brio et costumes étincelants sont les ingrédients de ce chef-d’œuvre chorégraphique et musical. Cette version qui mélange les grands moments de la chorégraphie originale et une création chorégraphique, inventive et sincère, passionnée et amoureuse, est un doux retour en arrière et une plongée dans des souvenirs parfois enfouis par le chorégraphe et qui ressurgissent par bribes dans le studio de la compagnie certains jours.

photo On sort au Parvis (Ibos) : Spectacle

On sort au Parvis (Ibos) : Spectacle "Nijinska, voilà la femme"

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle

Cauterets 65110

Le 08/02/2022

Mise en place d'une navette gratuite pour assister à la représentation du nouveau spectacle de Dominique Brun / François Chaignaud : "Nijinska, voilà la femme" Poursuivant ses recherches sur les figures saillantes de la modernité, en particulier Vaslav Nijinski, Dominique Brun s’intéresse ici à sa sœur, « la Nijinska », première et unique femme chorégraphe des Ballets russes, néanmoins laissée dans l’ombre. Pourtant, elle a grandement contribué à moderniser la danse. Elle a participé activement à la révolution du Sacre du printemps même si l’histoire retient encore Diaghilev ou Stravinsky. Rien d’étonnant qu’une chorégraphe, passionnée par le patrimoine chorégraphique, Dominique Brun, décide de réhabiliter son apport immense à la danse. Les Noces, pièce pour vingt-deux danseurs et jouée dans la version musicale telle que celle de 1919, est intimement liée au Sacre du printemps, chorégraphié par Vaslav Nijinski dix ans plus tôt. Le mariage qui est célébré ici est traité comme un drame austère et dépouillé, un acte sacrificiel dans lequel il n’y a aucune place pour l’amour et la subjectivité. La recherche chorégraphique s’éloigne de la littéralité de l’argument et construit[...]